Notre Métier
VIA LORENZO, importateur d’accessoires de mode installé à Nantes depuis 2000, détient une des plus riches collections de chapeaux en France.
En outre, VIA LORENZO est devenu en quelques années le leader européen du chapeau réglable.
L’entreprise dispose également d'un département foulards, gants, ponchos.
Notre offre s'étend sur tous les prix de la profession: du plus bas au plus haut de gamme. Pour ce faire, les fabrications proviennent du monde entier, autant sur l'Europe que sur le sud-est asiatique.
VIA LORENZO a rapidement gagné la confiance de grossistes et de centrales textile sur plusieurs continents.
Historique du marché accessoires de mode
Historique du marché accessoires de mode
L’accessoire de mode s’est développé au début des années soixante à la suite de la très forte volatilité des cours de l’or entre les deux guerres (l’or servant à l’effort de guerre) et de l’avènement de la bijouterie fantaisie avec l’évolution du niveau de vie après-guerre. Auparavant, seuls les accessoires « utiles » tels que les chapeaux, gants, foulards étaient vendus essentiellement chez les chapeliers et modistes. La pseudo-rareté de l’automobile conduisait la population à marcher plus souvent et donc à se protéger du froid. Cela n’empêchait pas d’établir des modes, bien au contraire, puisque nous avons pu assister à des tendances très fortes, notamment dans le chapeau.
Pour autant, il y a une vingtaine d'années, l’accessoire ne représentait que 2% de l’ensemble de la filière textile. En 2012, derniers chiffres officiels, il pesait 15% (Source : Industrie Textile). Il apparaît que la progression actuelle est de un demi point annuel ; ce qui amène à penser que nous sommes actuellement dans une fourchette de 16 à 19%. Un magasin de prêt-à-porter dont la part des accessoires représente moins de 17% perd donc inévitablement du chiffre d'affaires. D’autant qu’un accessoire (hors sac), prend en moyenne dix fois moins de place qu’un vêtement. Le rendement au mètre carré est donc bien supérieur.
Bien meilleure est également la marge qui s’établit à 0.5 point au-dessus du prêt-à-porter. Reste qu’un vêtement est souvent plus cher qu’un accessoire. Mais la bataille est systématiquement remportée par ce dernier si nous parlons en simple rendement au mètre carré.
Bien sûr, ce chiffre est partagé sur tout ce qui n’est pas de l’ordre du vêtement : ceintures, sacs, foulards, bijouterie fantaisie, chapeaux, gants, cravates et tongs. Dans ce marché, les évolutions se traduisent de manières divergentes. Selon MordorIntelligence, le marché des accessoires de mode devrait enregistrer un taux de croissance de 12,3% au cours de la période de prévision (2023-2028).
L’accessoire de mode s’est développé au début des années soixante à la suite de la très forte volatilité des cours de l’or entre les deux guerres (l’or servant à l’effort de guerre) et de l’avènement de la bijouterie fantaisie avec l’évolution du niveau de vie après-guerre. Auparavant, seuls les accessoires « utiles » tels que les chapeaux, gants, foulards étaient vendus essentiellement chez les chapeliers et modistes. La pseudo-rareté de l’automobile conduisait la population à marcher plus souvent et donc à se protéger du froid. Cela n’empêchait pas d’établir des modes, bien au contraire, puisque nous avons pu assister à des tendances très fortes, notamment dans le chapeau.
Pour autant, il y a une vingtaine d'années, l’accessoire ne représentait que 2% de l’ensemble de la filière textile. En 2012, derniers chiffres officiels, il pesait 15% (Source : Industrie Textile). Il apparaît que la progression actuelle est de un demi point annuel ; ce qui amène à penser que nous sommes actuellement dans une fourchette de 16 à 19%. Un magasin de prêt-à-porter dont la part des accessoires représente moins de 17% perd donc inévitablement du chiffre d'affaires. D’autant qu’un accessoire (hors sac), prend en moyenne dix fois moins de place qu’un vêtement. Le rendement au mètre carré est donc bien supérieur.
Bien meilleure est également la marge qui s’établit à 0.5 point au-dessus du prêt-à-porter. Reste qu’un vêtement est souvent plus cher qu’un accessoire. Mais la bataille est systématiquement remportée par ce dernier si nous parlons en simple rendement au mètre carré.
Bien sûr, ce chiffre est partagé sur tout ce qui n’est pas de l’ordre du vêtement : ceintures, sacs, foulards, bijouterie fantaisie, chapeaux, gants, cravates et tongs. Dans ce marché, les évolutions se traduisent de manières divergentes. Selon MordorIntelligence, le marché des accessoires de mode devrait enregistrer un taux de croissance de 12,3% au cours de la période de prévision (2023-2028).
Le marché du chapeau
Le marché du chapeau
Élément essentiel d’une tenue jusque dans les années cinquante, le chapeau s’est vu relégué au rang de simple accessoire non essentiel. Le nombre de chapeliers a fortement chuté dans les années 60-70 pour se maintenir jusqu’au 21éme siècle. Il est reconnu que l’ensemble des accessoires de tête est en pleine croissance. Avec l’accessoire cheveu, le chapeau n’est que le premier d’une longue série à connaître une croissance soutenue. Une fois encore, ce dernier n’a que peu profité aux chapeliers puisque nombres de revendeurs se sont infiltrés dans le marché.
Cependant, l’avènement du chapeau qui devait être une mode éphémère a réussi sa mutation. Il est amusant de souligner la parfaite dichotomie entre le fort volume de vente et le peu de chapeaux portés dans la rue. Pour autant, le consommateur n'hésite pas à l'arborer en vacances quand il n’ose pas le porter en ville. Ce qui explique le fossé soleil. Le syndicat de la dermatologie indiquant 80 à 100 000 nouveaux cas de cancers de la peau chaque année impose le port du chapeau et de vêtement large à leur patient plus qu’une quelconque autre protection. Via Lorenzo offre d'ailleurs aujourd'hui une gamme de plus en plus étendue de chapeaux anti-UV dûment labellisés.
Essentiellement porté par le trilby jusqu'en 2018, la croissance maintenant continue du chapeau s’oriente plus sur toutes les autres formes de couvre-chef: la capeline, la cloche, le fedora mais surtout sur la casquette sous toutes ses formes qui constitue déjà la plus grosse progression dans le domaine. Nous observons même de nouvelles terminologies au sein de la nouvelle génération (une casquette devient un “béret”, le béret bascule en “béret basque”, une capeline à pan coupé devient une visière). Preuve que l'industrie du chapeau est en train de s'offrir une cure de jouvence auprès des juniors qui n'hésitent plus à pousser la porte d'une chapellerie pour se payer un produit de qualité. À contrario, l'inflation de fabrication des produits européens est en train d'amener une partie de la clientèle sur des produits moyen de gamme. Pour éviter de perdre une clientèle qui hésitait déjà à basculer sur du produit made in Europe, via Lorenzo a décidé d'ajouter une collection haut de gamme sur l'import pour faire la jonction entre les deux gammes.
Élément essentiel d’une tenue jusque dans les années cinquante, le chapeau s’est vu relégué au rang de simple accessoire non essentiel. Le nombre de chapeliers a fortement chuté dans les années 60-70 pour se maintenir jusqu’au 21éme siècle. Il est reconnu que l’ensemble des accessoires de tête est en pleine croissance. Avec l’accessoire cheveu, le chapeau n’est que le premier d’une longue série à connaître une croissance soutenue. Une fois encore, ce dernier n’a que peu profité aux chapeliers puisque nombres de revendeurs se sont infiltrés dans le marché.
Cependant, l’avènement du chapeau qui devait être une mode éphémère a réussi sa mutation. Il est amusant de souligner la parfaite dichotomie entre le fort volume de vente et le peu de chapeaux portés dans la rue. Pour autant, le consommateur n'hésite pas à l'arborer en vacances quand il n’ose pas le porter en ville. Ce qui explique le fossé soleil. Le syndicat de la dermatologie indiquant 80 à 100 000 nouveaux cas de cancers de la peau chaque année impose le port du chapeau et de vêtement large à leur patient plus qu’une quelconque autre protection. Via Lorenzo offre d'ailleurs aujourd'hui une gamme de plus en plus étendue de chapeaux anti-UV dûment labellisés.
Essentiellement porté par le trilby jusqu'en 2018, la croissance maintenant continue du chapeau s’oriente plus sur toutes les autres formes de couvre-chef: la capeline, la cloche, le fedora mais surtout sur la casquette sous toutes ses formes qui constitue déjà la plus grosse progression dans le domaine. Nous observons même de nouvelles terminologies au sein de la nouvelle génération (une casquette devient un “béret”, le béret bascule en “béret basque”, une capeline à pan coupé devient une visière). Preuve que l'industrie du chapeau est en train de s'offrir une cure de jouvence auprès des juniors qui n'hésitent plus à pousser la porte d'une chapellerie pour se payer un produit de qualité. À contrario, l'inflation de fabrication des produits européens est en train d'amener une partie de la clientèle sur des produits moyen de gamme. Pour éviter de perdre une clientèle qui hésitait déjà à basculer sur du produit made in Europe, via Lorenzo a décidé d'ajouter une collection haut de gamme sur l'import pour faire la jonction entre les deux gammes.
Le marché du gant
Le marché du gant
A volume quasi-constant depuis de longues années, les gants ont commencé à profiter du boom de l’accessoire assez récemment. L’innovation suit cette tendance et nous voyons fleurir toute une palette de produits innovants tant en termes techniques qu’esthétiques. Conjointement, les gants tactiles, les tissus respirant, les lacets, les boutons, le métal ajouté, les cuirs de plus en plus travaillés voire torturés se succèdent. On attend à une accélération forte de ce phénomène créatif. Alors que le manque de froid de ces dernières années a fortement joué sur les ventes de textile, le marché du gant a subi une légère poussée de fièvre.
Mode : 1 - Saison : 0 !
La mode et l'homme
La mode et l'homme
Il existe peu d'études sur l’évolution de l’accessoire homme. Après la chute de la cravate, ne restaient aux hommes que quelques bijoux assez classiques. Pour un temps, ils se sont rattrapés en investissant fortement dans leur(s) montre(s); le panier moyen ayant considérablement augmenté. Puis, la jeune génération, dès 2005-2006 a osé porter l’accessoire de manière plus ludique. Le chapeau a démarré la danse avec la renaissance du trilby. Peu prisé dans la rue, il sortait beaucoup dans les soirées.
Le problème est qu’aucun prosélytisme ne se propageait. De plus, si la demande commençait à poindre, l’offre était quasi-inexistante. Fort heureusement, les volumes de ventes de produits classiques, en forte augmentation, ont permis l’avènement d’une relative créativité. Écharpes rayées, bracelet argent, chèches unis et autres se vendaient à la volée, interpellant les producteurs. Il faudra cependant attendre les années 2010 pour connaître une véritable offre de plus en plus proche de celle des foulards «homme» achetés aussi…par la gente féminine! Et ce sera au tour des casquettes dans un avenir proche. Nos revendeurs nous indiquent déjà qu'un modèle sur deux acheté par une femme, l'est dans le vestiaire masculin.
En attendant, l’accessoire crée la brèche avec des foulards, chapeaux et bijoux portables par tout un chacun. Quoique l’on en pense, on assiste bien actuellement à une véritable révolution de genre. À vous de prendre le train en marche !
Il existe peu d'études sur l’évolution de l’accessoire homme. Après la chute de la cravate, ne restaient aux hommes que quelques bijoux assez classiques. Pour un temps, ils se sont rattrapés en investissant fortement dans leur(s) montre(s); le panier moyen ayant considérablement augmenté. Puis, la jeune génération, dès 2005-2006 a osé porter l’accessoire de manière plus ludique. Le chapeau a démarré la danse avec la renaissance du trilby. Peu prisé dans la rue, il sortait beaucoup dans les soirées.
Le problème est qu’aucun prosélytisme ne se propageait. De plus, si la demande commençait à poindre, l’offre était quasi-inexistante. Fort heureusement, les volumes de ventes de produits classiques, en forte augmentation, ont permis l’avènement d’une relative créativité. Écharpes rayées, bracelet argent, chèches unis et autres se vendaient à la volée, interpellant les producteurs. Il faudra cependant attendre les années 2010 pour connaître une véritable offre de plus en plus proche de celle des foulards «homme» achetés aussi…par la gente féminine! Et ce sera au tour des casquettes dans un avenir proche. Nos revendeurs nous indiquent déjà qu'un modèle sur deux acheté par une femme, l'est dans le vestiaire masculin.
En attendant, l’accessoire crée la brèche avec des foulards, chapeaux et bijoux portables par tout un chacun. Quoique l’on en pense, on assiste bien actuellement à une véritable révolution de genre. À vous de prendre le train en marche !
Découvrez notre collection
Partez à la recherche des produits incontournable de l'année !
Notre Métier
VIA LORENZO, importateur d’accessoires de mode installé à Nantes depuis 2000, détient une des plus riches collections de chapeaux en France.
En outre, VIA LORENZO est devenu en quelques années le leader européen du chapeau réglable.
L’entreprise dispose également d'un département foulards, gants, ponchos.
Notre offre s'étend sur tous les prix de la profession: du plus bas au plus haut de gamme. Pour ce faire, les fabrications proviennent du monde entier, autant sur l'Europe que sur le sud-est asiatique.
VIA LORENZO a rapidement gagné la confiance de grossistes et de centrales textile sur plusieurs continents.
Historique du marché accessoires de mode
L’accessoire de mode s’est développé au début des années soixante à la suite de la très forte volatilité des cours de l’or entre les deux guerres (l’or servant à l’effort de guerre) et de l’avènement de la bijouterie fantaisie avec l’évolution du niveau de vie après-guerre. Auparavant, seuls les accessoires « utiles » tels que les chapeaux, gants, foulards étaient vendus essentiellement chez les chapeliers et modistes. La pseudo-rareté de l’automobile conduisait la population à marcher plus souvent et donc à se protéger du froid. Cela n’empêchait pas d’établir des modes, bien au contraire, puisque nous avons pu assister à des tendances très fortes, notamment dans le chapeau.
Pour autant, il y a une vingtaine d'années, l’accessoire ne représentait que 2% de l’ensemble de la filière textile. En 2012, derniers chiffres officiels, il pesait 15% (Source : Industrie Textile). Il apparaît que la progression actuelle est de un demi point annuel ; ce qui amène à penser que nous sommes actuellement dans une fourchette de 16 à 19%. Un magasin de prêt-à-porter dont la part des accessoires représente moins de 17% perd donc inévitablement du chiffre d'affaires. D’autant qu’un accessoire (hors sac), prend en moyenne dix fois moins de place qu’un vêtement. Le rendement au mètre carré est donc bien supérieur.
Bien meilleure est également la marge qui s’établit à 0.5 point au-dessus du prêt-à-porter. Reste qu’un vêtement est souvent plus cher qu’un accessoire. Mais la bataille est systématiquement remportée par ce dernier si nous parlons en simple rendement au mètre carré.
Bien sûr, ce chiffre est partagé sur tout ce qui n’est pas de l’ordre du vêtement : ceintures, sacs, foulards, bijouterie fantaisie, chapeaux, gants, cravates et tongs. Dans ce marché, les évolutions se traduisent de manières divergentes. Selon MordorIntelligence, le marché des accessoires de mode devrait enregistrer un taux de croissance de 12,3% au cours de la période de prévision (2023-2028).
Le marché du chapeau
Élément essentiel d’une tenue jusque dans les années cinquante, le chapeau s’est vu relégué au rang de simple accessoire non essentiel. Le nombre de chapeliers a fortement chuté dans les années 60-70 pour se maintenir jusqu’au 21éme siècle. Il est reconnu que l’ensemble des accessoires de tête est en pleine croissance. Avec l’accessoire cheveu, le chapeau n’est que le premier d’une longue série à connaître une croissance soutenue. Une fois encore, ce dernier n’a que peu profité aux chapeliers puisque nombres de revendeurs se sont infiltrés dans le marché.
Cependant, l’avènement du chapeau qui devait être une mode éphémère a réussi sa mutation. Il est amusant de souligner la parfaite dichotomie entre le fort volume de vente et le peu de chapeaux portés dans la rue. Pour autant, le consommateur n'hésite pas à l'arborer en vacances quand il n’ose pas le porter en ville. Ce qui explique le fossé soleil. Le syndicat de la dermatologie indiquant 80 à 100 000 nouveaux cas de cancers de la peau chaque année impose le port du chapeau et de vêtement large à leur patient plus qu’une quelconque autre protection. Via Lorenzo offre d'ailleurs aujourd'hui une gamme de plus en plus étendue de chapeaux anti-UV dûment labellisés.
Essentiellement porté par le trilby jusqu'en 2018, la croissance maintenant continue du chapeau s’oriente plus sur toutes les autres formes de couvre-chef: la capeline, la cloche, le fedora mais surtout sur la casquette sous toutes ses formes qui constitue déjà la plus grosse progression dans le domaine. Nous observons même de nouvelles terminologies au sein de la nouvelle génération (une casquette devient un “béret”, le béret bascule en “béret basque”, une capeline à pan coupé devient une visière). Preuve que l'industrie du chapeau est en train de s'offrir une cure de jouvence auprès des juniors qui n'hésitent plus à pousser la porte d'une chapellerie pour se payer un produit de qualité. À contrario, l'inflation de fabrication des produits européens est en train d'amener une partie de la clientèle sur des produits moyen de gamme. Pour éviter de perdre une clientèle qui hésitait déjà à basculer sur du produit made in Europe, via Lorenzo a décidé d'ajouter une collection haut de gamme sur l'import pour faire la jonction entre les deux gammes.
Le marché du gant
A volume quasi-constant depuis de longues années, les gants ont commencé à profiter du boom de l’accessoire assez récemment. L’innovation suit cette tendance et nous voyons fleurir toute une palette de produits innovants tant en termes techniques qu’esthétiques. Conjointement, les gants tactiles, les tissus respirant, les lacets, les boutons, le métal ajouté, les cuirs de plus en plus travaillés voire torturés se succèdent. On attend à une accélération forte de ce phénomène créatif. Alors que le manque de froid de ces dernières années a fortement joué sur les ventes de textile, le marché du gant a subi une légère poussée de fièvre.
Mode : 1 - Saison : 0 !
La mode et l'homme
Il existe peu d'études sur l’évolution de l’accessoire homme. Après la chute de la cravate, ne restaient aux hommes que quelques bijoux assez classiques. Pour un temps, ils se sont rattrapés en investissant fortement dans leur(s) montre(s); le panier moyen ayant considérablement augmenté. Puis, la jeune génération, dès 2005-2006 a osé porter l’accessoire de manière plus ludique. Le chapeau a démarré la danse avec la renaissance du trilby. Peu prisé dans la rue, il sortait beaucoup dans les soirées.
Le problème est qu’aucun prosélytisme ne se propageait. De plus, si la demande commençait à poindre, l’offre était quasi-inexistante. Fort heureusement, les volumes de ventes de produits classiques, en forte augmentation, ont permis l’avènement d’une relative créativité. Écharpes rayées, bracelet argent, chèches unis et autres se vendaient à la volée, interpellant les producteurs. Il faudra cependant attendre les années 2010 pour connaître une véritable offre de plus en plus proche de celle des foulards «homme» achetés aussi…par la gente féminine! Et ce sera au tour des casquettes dans un avenir proche. Nos revendeurs nous indiquent déjà qu'un modèle sur deux acheté par une femme, l'est dans le vestiaire masculin.
En attendant, l’accessoire crée la brèche avec des foulards, chapeaux et bijoux portables par tout un chacun. Quoique l’on en pense, on assiste bien actuellement à une véritable révolution de genre. À vous de prendre le train en marche !